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« The Last Of Us », épisode 8 : « it’s okay, baby girl. I got you »

Tout commence avec une fringale et tout finit dans les larmes. « The Last of Us » livre son épisode 8 et The Spectators passe à table avec sa pièce de résistance : son débrief !

Nouvelle semaine, nouvel épisode de « The Last Of Us » et double trope de la post-apo. The Spectators débriefe cette avant-dernière aventure de Joel et Ellie. Attention spoilers.

« The Last Of Us » s01e08 : qui veut croquer la jeune Ellie ?

Comme d’habitude, vos deux Spectators vous livrent donc leurs impressions sur ce nouvel épisode, le 8e et avant-dernier de cette saison 1 de la série phénomène que tout le monde regarde et dont il faut vite regarder les épisodes au risque de se faire spoiler. Mais attention, cette semaine, il ne faut pas manger devant la série (au risque d’avoir envie de vomir). « The Last Of Us » s’attaque à des tropes du genre mais ne réussit toujours pas à nous emballer. ATTENTION SPOILERS !

Mélanie, The Spectator

Il y a du mieux comparé à l’épisode 7. Il y a du mieux comparé à la saison entière, en fait. On retrouve la trame du jeu, son essence, on apprécie de voir cet arc narratif respecté et bien utilisé. Comme quoi la série « The Last of Us » est capable de faire de réussir certains aspects. On retrouve le côté survival et monde apocalyptique à explorer. En plus, quel bonheur de voir Troy Baker, l’acteur derrière le Joel du jeu dans un rôle à contre-emploi, celui de James. On avait plus qu’à fermer les yeux et revivre nos moments accrochés à notre manette.

À part ça, la série nous a tellement déçu qu’il est difficile de ressentir des émotions devant… Et dire qu’il ne reste qu’un épisode… Et on sait ce qui nous attend, amateurs du jeu, comment vont-ils boucler tout ça ? La fin du jeu sera-t-elle respectée ? Quels changements feront-ils ?

Stéphane, The Spectator

Je pensais que la série aurait éviter le sujet mais non, les barjots qui se servent de la religion dans un monde post-apo sont là. Avec son 8e épisode, Craig Mazin nous embarque dans une communauté mené par un fêlé religieux qui a l’outrecuidance d’être en plus un gourmet : il aime manger ses congénères. Alors certes, c’est pour survivre mais bon… les deux tropes sont abordés dans un épisode dense et court (une première ou presque), verbeux et précipité où Ellie et Bella Ramsey ont encore la part belle. Bonne nouvelle mais cela ne suffit pas à nous sortir de la torpeur dans laquelle on est plongé par l’adaptation. Sûrement qu’une attaque de cannibales passent mieux en jeu vidéo qu’en épisode de série. Cela parlotte donc beaucoup, ça se plante des coups de couteau et malgré les cris rageurs d’Ellie on ne vibre pas.

Pardon, ce n’est pas vrai. Le « It’s okay, baby girl. I got you. » de Joel (le miraculé miraculeusement sauvé par un miracle miraculeux) a fait fondre mon petit coeur. Dans cette confession abrupte, spontanée, on a le développement qu’on attendait. Il arrive à point nommé, dans une scène intense, et marque un tournant pour la relation entre les deux héros. En fait, c’est tout ce qu’on voulait voir, tout ce que je voulais voir. Comme quoi, je peux avoir des attentes simples. Donc pour le season finale, pour l’épisode 9 conclusif de cette saison 1, je vais juste espérer que Joel et Ellie passent du temps ensemble, à se chamailler et à se comporter comme un père et sa fille.

3 réponses sur « « The Last Of Us », épisode 8 : « it’s okay, baby girl. I got you » »

Wesh wesh io !

Pour Stéphane, la scène entre Joël et Ellie est mieux mise en scène dans le jeu (même si Pedro en une seule phrase il a rassuré toute une génération de petite fille et on lui dit merci pour tous ces mèmes). En fait les détails jouent énormément dans l’intensification de leur relation. Dans le jeu, il y a la même scène où Ellie va s’acharner sur David mais c’est Joël qui va l’arrêter, il est donc témoin de la scène et ses premiers mots quand elle voit Joël c’est « He tried to… » choquée et cherchant à se justifier, puis il sort le « baby girl » et ensuite on n’entend plus la voix de Joël pour dire qu’elle est en sécurité et qu’elle ne pense plus à rien à part être avec son père de substitution.

Du coup t’enlèves Pedro « Daddy » Pascal de l’équation et cet épisode aurait été random++.

David à sa première rencontre on passe beaucoup de temps avec lui et ça devient notre super poto de survie. Là 1ère image on comprend que c’est un antagoniste. Et y a pas de délire biblique dans le jeu, je sais pas d’où ça vient et pourquoi mettre ça pour justifier le cannibalisme. Le cannibalisme se justifie que par la survie.

Ouais j’écris sur vos articles pour pas me faire cancel par les fans tarés.

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Ah ben, je ne comprends pourquoi ils sont allés vers ce « délire biblique » comme tu dis si ce n’est pas dans le jeu… C’est lourd et raté (et encore du très commun et toujours foireux)…

Craig Mazin fait n’imp…

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